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  • À la loupe

    Un an de guerre en Ukraine : ce que l’on a appris sur l’accueil des réfugiés dans l’Hexagone

    Funeste anniversaire. Un an après l'invasion russe de l'Ukraine, Guiti News revient sur la façon dont la France a accueilli 115 000 réfugiés ukrainiens pour s’interroger sur les modalités de l’inconditionnalité de l’accueil.

    71 réfugiés d'Ukraine arrivent à Bordeaux (Gironde) le 21 avril 2022 dans le cadre d’un vol en provenance de Moldavie organisé par le Haut-commissariat pour les réfugiés. © HCR / Elodie Carette

    Flashback. Au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine, Marine Le Pen, présidente du parti d’extrême droite le Rassemblement national, argue sur France TV : « quand un pays est coupé de son territoire par des guerres et des bombardements, il faut être solidaire. Il est normal que la France, qui est un pays européen, soit solidaire envers un pays européen ». De quoi trancher avec ses déclarations expéditives antécédentes à l’instar de «Les réfugiés, on les renvoie chez eux ».  Même son de cloche du côté de Valérie Pécresse, cheffe du parti conservateur de centre-droit Soyons Libres, qui, en 2021, au lendemain de la chute de Kaboul, pérorait : « l'enjeu pour la France est de stopper l'immigration ». Cette année au contraire, après la polémique qu'elle a créée en disant à propos des réfugiés ukrainiens qu'elle « préfère » un « accueil dans les pays limitrophes pour qu'ils puissent rentrer...

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