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  • C'est leur histoire

    Nouria, Fatem et Maram rendent leurs lettres de noblesse à l’artisanat

    « C’est ma manière à moi de continuer à soutenir les femmes afghanes ». Elles s’appellent Nouria, Fatem et Maram et à travers l’artisanat d’art, toutes trois mettent à l’honneur les savoir-faire ancestraux d’Iran, d'Afghanistan ou de Syrie. Rencontre.

    Au Point Éphémère (Paris), Nouria vend des robes traditionnelles de Kaboul. « Elles sont confectionnées par des femmes restées en Afghanistan. Leur situation et les conditions dans lesquelles elles les fabriquent clandestinement chez elles les mettent en danger », explique-t-elle.

    D'une passion dévorante à un travail rémunérateur à temps plein. Originaires d'Iran, d'Afghanistan et de Syrie, Nouria, Fatem et Maram, trois artisanes, se démènent pour vivre de leur art. Broderie, joaillerie et stylisme : depuis leur arrivée dans l'Hexagone, elles égrènent les marchés et foires solidaires pour faire connaître leurs créations C'est d'ailleurs dans l'un d'entre eux, le « Beat Across Borders » organisé fin avril à Paris, que nous les rencontrons à nouveau. Porté par une association étudiante de Science Po, le festival se donne pour dessein de prendre à contre-pied les rencontres sur le sujet de l'asile, souvent considérées comme «trop graves. Nous voulions faire un événement festif. Parce que nous pensons que face aux difficultés, il faut opposer une atmosphère engagée de partage et d’intégration par la fête », explique Yasmina, coprésidente de l’association Science Po Refugees help SPRH. Les broderies de Fatem C'est donc au Point Éphémère, adresse parisienne sur...

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