« Rien à foutre » : Adèle Exarchopoulos grandeur nature
« On n’a respecté aucune règle, le film ne s’appelle pas «Rien à foutre» pour rien ! ». Rencontre avec Adèle Exarchopoulos
Photo à la Une : Fanny De Gouville (convergence) Révélée à Cannes en 2013 dans la palme d’or d’Abdellatif Kechiche « La Vie d’Adèle », la jeune actrice révèle à son tour un tandem de réalisateurs français dans un long-métrage aux allures de documentaire, transpirant de réalisme. La genèse de « Rien à foutre » d’Emmanuel Marre et Julie Lecoustre ? Un squelette de scénario sans fin qu’ils proposent à l’une de comédiennes françaises les plus prisées, autour d’un café. Ce qui se dégage de ces quelques lignes séduit immédiatement celle qui interprètera Cassandre, une jeune femme de 26 ans, qui a choisi le ciel pour vivre le deuil et la solitude entourée d’étrangers. Réalisé en deux blocs en équipe ultra réduite, ce premier film à petit budget tourné dans l’urgence, sans plan de travail, souvent sans autorisation et parfois même à liIphone, a pourtant été sélectionné par la semaine de la critique au...
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