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    [Cinéma] Justine Triet, palme d’humilité et d’insoumission

    Avec un rare niveau de détail et d’attention, « Anatomie d’une chute » pixélise la relation de couple au point de rendre la vérité accessoire. Justine Triet, la gagnante de la très convoitée Palme d’or « au rapport étrange avec la récompense » se confie à Guiti News. Rencontre avec une lauréate décidément pas comme les autres.

    Justine Triet présente « Anatomie d’une chute » au festival de Cannes avec Swann Arlaud, l'un des acteurs du film.

    Dans un festival de Cannes toujours tiré à quatre épingles, Justine Triet se démarque instantanément. Simple, abordable, si la réalisatrice est présente sur la Croisette, c'est pour défendre son film et sa vision. Devant nous se tient bien, posée et réfléchie, une incarnation du féminisme qui éclabousse Cannes de sa force maîtrisée. De la dissection du couple Quatrième long-métrage de Justine Triet - présente à Cannes pour la troisième fois (après « Sybil » en 2019 et « Victoria » en 2016) et grande habituée des Césars -, « Anatomie d’une chute » analyse les complexités du couple, en partant toujours du point de vue d’une femme. Le film aurait bien pu s’appeler Sandra, du nom de l’héroïne du film, Sandra Volker, interprétée par une autre Sandra (Hüller) pour qui la réalisatrice a écrit le long-métrage. « Quand j’écrivais le film, j’entendais la voix de Sandra dans ma tête. Et, on...

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