Délit de faciès : «La police me rappelle que je suis noir»
Abdallah, 28 ans, est Tchadien et reconnu réfugié politique depuis deux ans. Son arrivée en France est marquée par la surprise, et une découverte dont il se serait bien passé : le délit de faciès. Régulièrement, dans la rue, il est contrôlé par les forces de l’ordre. En plus du sentiment d’injustice, il observe que cette relation avec la police le pousse à se penser comme noir. Alors que cela n’avait jamais été une question pour lui avant.
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