Au Sénégal, une vie à se cacher : rencontre avec Fatou Aidara
« J’ai toujours été homosexuelle, mais j’ai été obligée de me cacher durant la majeure partie de ma vie ». A presque 50 ans, Fatou Aidara* quitte son Sénégal natal, parce que l’homosexualité y est considérée comme un crime. En France, elle peut enfin être libre, mais son droit d’asile y est remis en question.
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer